17 février 2010

Le Conseil National de Transition restera dans les mains du mouvement syndical.



Que les forces nocives sortent désespérément leurs griffes. Mais en vain, les Arabes disent que celui qui regarde au-dessus de soi a mal au cou. N'est-ce pas?

Après la nomination méritée de Hadja Rabiatou à la tête de l’organe législatif de la transition, une voix moche, hésitante, irritante et révoltante, visant à sauver la face, persiste. Cette voix qui prêche encore dans le désert n’est autre que celle des forces dites patriotes en associations avec quelques groupes de jeunes qui n’auront pas d’avenir sans tirer la corde de la démagogie.


Timidement, ces forces nocives à la bonne marche du processus démocratique est jalouses de cette nomination en prétextant qu’elle viole l’accord de Ouaga qui stipule que le CNT devrait être dirigé par un chef religieux.

Je les rappelle tout simplement que nuit été la méfiance absolue du peuple à l’égard des groupuscules comme eux, l’on n’aurait vraiment pas besoin de recourir à la religion pour calmer et rassurer les esprits quand bien même que la majorité de ces personnalités religieuses ont perdu tout crédit à cause de leur complaisance envers le pouvoir.
Par ailleurs, celles issues de la minorité de ces chefs religieux crédibles, sont déjà choisies afin qu’elles joignent leurs efforts à ceux de celle qui s’est battue corps et âme pour la même noble cause pendant que vous les forces nocives n’existait pas encore.

C’est donc un droit sacré et pour nous et pour le mouvement syndical, d’être représentés par une personnalité irréprochable comme Rabiatou pour participer à la concrétisation de ce rêve pour laquelle nous n’avons ménagé ni notre vie ni notre sang encore moins notre engagement.

Selon Pierre Corneille
Jamais un envieux ne pardonne au mérite.

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